C’est un mot interdit dans le monde des affaires. Jamais on ne l’entend prononcer, ni dans les écoles de commerce ni dans les entretiens d’embauche, et pas davantage dans les conseils d’administration. Pourtant, de nombreux travaux montrent que l’échec n’affectera nullement notre capacité à rebondir.
Le sentiment d’échec révèle plus la vérité que l’ivresse du succès. Quentin Sannié le sait, lui qui a affuté sa résilience sur les lames des injustices d’écolier. Pas indolent, jamais dans la facilité, mais trop révolté pour se soumettre aux ordres, trop exotique pour imaginer autre chose que de monter sa boîte une fois à la fac. Celui qui n’a jamais envoyé de CV pour travailler, finira par créer Devialet en 2006.
Lire l'articlePour Alexia Laroche-Joubert, il y a réel intérêt dans l'échec, qui oblige à prendre une autre voie. L'échec n'est d'ailleurs pas, selon elle, le fondement de la réussite.
Lire l'articleComment passer l'étape délicate du pivot ? D’Instagram à Blablacar en passant par le champion de la publicité en ligne Criteo, retour sur quelques bonnes pratiques pour pivoter... sans perdre l’équilibre.
Lire l'articleL’échec ne lui fait pas peur. David Ringrave, 46 ans, entrepreneur à succès (il a fondé il y a une dizaine d’années l’agence My Media, un groupe de conseil et d’achat d’espace Web qui emploie plus de 130 personnes en France) nous a reçus au lendemain de la soirée Re.Start Awards.
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